En cinq ans, il a
connu malheur après malheur: la prison du régime puis celle de l'EI, la mort de
ses parents dans un raid, le siège de son Alep natal, la faim et l’enfer des
bombardements. Malgré ce terrible parcours, notre correspondant Karam Al-Masri,
photographe et vidéaste dans la partie rebelle de la deuxième ville de Syrie
nous raconte au jour le jour, avec un courage qui ne vacille pas, l’histoire de
cette métropole dévorée par une guerre sans merci.
Voici son témoignage,
suivi de l'histoire de sa collaboration avec l'AFP racontée par la journaliste
Rana Moussaoui.
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