Le nombril
Fameux cordon que celui du nombril ;
Je le sais sourcilleux, agacé ou expansif,
gai à se plier de rire.
Egoïste, à se défaire d’une alliance
J’ai peu vu de nombrils
…
Ah ! Si
Des boutons gros, petits, moyens ; convexes comme des escargots,
Des en colimaçons, plus pressés secrets et moins expansifs,
A ce moment-là, ta tête était rieuse, sympathique à en mourir d’amour.
Et si affectueusement brune dans des mains hagardes.
C’est beau un nombril amoureux dans la vague d’un corps amoureux.
Ce frémissement de toi sous ta peau, et sur les ailes de ta peau
Le monde est déconcertant,
Je suis déconcertant
Ton corps tout notre amour est déconcertant
Et ton nombril salé.
Sous ta peau il y a ton domaine de chaire
Avec ses écritures
Et sous mes doigts te caressant un
Moi, je.
Un poème
RépondreSupprimerà quand une
une haleine
pour le dire
pour l'écouter
il faudrait qu'il soit clamé
sa lecture
à mes yeux fatigués
son chant pour demain
pas certain !!!
Ecriture d'aujourd’hui
emporte
comme le ressac
dans les très fonds
Poème "nombril"
pas si facile,
laissant entendre
même si l'on ne comprend
pas la fin
que l'amour de l'autre
n'est souvent que prétexte
à calmer sa propre faim.
n'oubliez pas
commentaire ici sans prétention
seule l'envie de saisir la balle au bond,
jouer, sourires échangés.