« Quiconque boit au calice des prouesses épiques
Sent résonner en lui l’antique mélopée
Du chant gracieux des muses et des gestes mythiques
Qui érigent en héros l’acier des épopées »
Herman Melville
(Par Matthieu Roger)
« Or, voici que j’ai vu le monde, comme un pré
Immense, qui grouillait sous ce soleil pourpré,
Plein d’hommes portant heaume et cotte d’acier, lance,
Masse d’armes et glaive, engins de violence
Avec loques d’orgueil, bannières et pennons
Où le Diable inscrivait leur lignée et leurs noms. » (p.
338).
POÈMES BARBARES, de Leconte de Lisle
Éditions Slatkine, 1981 (réimpression de l’édition de Paris
de 1928)
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