Vidéo proposée par Anonyme.
Inauguré en juin 1903, cet hôtel de 359 chambres (dont dix neuf sont offertes aux indigents) plus une suite "Françoise Sagan" fut revisité par les architectes en 1920 dans un style « Art déco ». Il est situé au cœur même de la ville dans un cadre reposant et magnifique bordé de jardins.
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Notre salon Arletty: dès le début des années 1930, Arletty est devenue une figure érotique, ce dont témoigne ce portrait de Moïse Kisling, datant de 1933. Crédits : © Moïse Kisling / ADAGP, Paris 2012 / Photo © Studio Monique Bernaz, Genève.
découverte de Madame Lucero Tena
RépondreSupprimerpour moi du jamais vu, mais je reste insensible
par ce mélange de genre, "flamenco et classique."
Tel qu'il est présenté, amoindri, délite
la force ressentie, l'énergie donnée sans compter
dépassant tous les codes pour emporter, étreindre vers
l'inaccessible, l' indomptable bon nombre de quidams.
Indissociable les couleurs des robes et costumes sévillans d'une telle proposition.
Pourquoi, ne pas avoir été jusqu'au bout
de cet Art vivant, laissant de côté la robe de soirée.
le Flamenco comme le Blues, musique née, expression des difficultés dues à la condition humaine, pour le plus grand nombre : véritable symbole de l'injustice, douleur, privation de liberté,de droits, sacrifice, marthyr.
Imaginons, la puissance fraternelle
artiste, orchestre symphonique, public
si Madame Lucero Tena était entrée vêtue en "Cartesanas" au châle coloré et coiffure "chignon bas, surmonté d'un peigne et d'une fleur Maravilla" permettant enfin reconnaissance de tous les "Hommes".