"Que les ailes de notre désir de l’autre nous accompagnent
encore en susurrant des mots peints à la salive de nos bouches en émoi. Ici
point de querelles, l’écoute. La toute parfois endolorie écoute de la vie.
Les lacs son changeants, troubles ou lumineux, nos corps
ailes eux aussi, caressent le temps qui passe. Et nus, sous nos draps blancs celui rassemblé de l’un éveille la grâce de l’autre. Nous nous savons à ce
moment là éternels".
Bien qu'aimant lire j'y reconnaisse
RépondreSupprimerdes associations poétiques,
l'ensemble nous tient et c'est peut être juste en fin du texte, éviter de finir par ce qui pourrait être une évidence
pourquoi tardez vous à
nous livrer encore davantage.
Je reviens à nouveau parce que c'est trop beau !
RépondreSupprimerSalutations Manuel,
Merci, merci.
SupprimerJe vous embrasse
Manuel.
Que devenez vous Gandalf, et si vous nous manquiez?
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