Notre salon Arletty: dès le début des années 1930, Arletty est devenue une figure érotique, ce dont témoigne ce portrait de Moïse Kisling, datant de 1933. Crédits : © Moïse Kisling / ADAGP, Paris 2012 / Photo © Studio Monique Bernaz, Genève.

dimanche 6 janvier 2013

Chambre N° 62. Des mots peints à la salive


"Que les ailes de notre désir de l’autre nous accompagnent encore en susurrant des mots peints à la salive de nos bouches en émoi. Ici point de querelles, l’écoute. La toute parfois endolorie écoute de la vie.
Les lacs son changeants, troubles ou lumineux, nos corps ailes eux aussi, caressent le temps qui passe. Et nus, sous nos draps blancs celui rassemblé de l’un éveille la grâce de l’autre. Nous nous savons à ce moment là éternels". 

4 commentaires:

  1. Bien qu'aimant lire j'y reconnaisse
    des associations poétiques,
    l'ensemble nous tient et c'est peut être juste en fin du texte, éviter de finir par ce qui pourrait être une évidence
    pourquoi tardez vous à
    nous livrer encore davantage.

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  2. Je reviens à nouveau parce que c'est trop beau !
    Salutations Manuel,

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  3. Que devenez vous Gandalf, et si vous nous manquiez?

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