Inauguré en juin 1903, cet hôtel de 359 chambres (dont dix neuf sont offertes aux indigents) plus une suite "Françoise Sagan" fut revisité par les architectes en 1920 dans un style « Art déco ». Il est situé au cœur même de la ville dans un cadre reposant et magnifique bordé de jardins.
Femme varie
RépondreSupprimerj'avais dit plus jamais
Benjamin doit savoir
ses interprétations sont magiques
« Aux aguets »
Jouer par lui
A bout de souffle
Je suis
Deux fois 10’46
A graviter, touiller l’air
Haleter, panteler
Voyage encore possible pour l’immobile
Que je tends à devenir
Dès les premières notes
Respire, par petites bouffées
Aux poses de plus en plus amples
Voyez
Le corps ondule
De bas en haut
Comme un écho
C’est danse singulière
Qui s’exprime
Puis sur tempo de plus en plus rapide
Il en redemande
Il est avide
Il s’étire, vrille, se voit comme
Un coureur de 400 m, qu’il mime bien sur
S’adapter pour maintenir le plaisir retrouvé
Jusqu’au bout
A la troisième minutes
Les doigts ralentissent
Sur les touches
C’est alors
Qu'elle enivre,
Fait tourner la tête
Balance, balance,
puis
Par son incessante relance
C’est reparti
vriller, ondoyer, pivoter,
contre balancer
La bouche s’ouvre
Inspiration profonde
de mise
Tellement l’air ne peut rester prisonnier
musique
Loin d’être improvisée
découverte
Qui vous saoule
prendre un temps, vous
Persuader de ne pas avoir rêver
Oui, C’est bien moi qui ...
Ce que depuis des mois
Ne ce fait qu’à minima
Libéralité
Me laisse emporter
Femme varie
RépondreSupprimerj'avais dit plus jamais
Benjamin doit savoir
ses interprétations sont magiques
« Aux aguets »
Jouer par lui
A bout de souffle
Je suis
Deux fois 10’46
A graviter, touiller l’air
Haleter, panteler
Voyage encore possible pour l’immobile
Que je tends à devenir
Dès les premières notes
Respire, par petites bouffées
Aux poses de plus en plus amples
Voyez
Le corps ondule
De bas en haut
Comme un écho
C’est danse singulière
Qui s’exprime
Puis sur tempo de plus en plus rapide
Il en redemande
Il est avide
Il s’étire, vrille, se voit comme
Un coureur de 400 m, qu’il mime bien sur
S’adapter pour maintenir le plaisir retrouvé
Jusqu’au bout
A la troisième minutes
Les doigts ralentissent
Sur les touches
C’est alors
Qu'elle enivre,
Fait tourner la tête
Balance, balance,
puis
Par son incessante relance
C’est reparti
vriller, ondoyer, pivoter,
contre balancer
La bouche s’ouvre
Inspiration profonde
de mise
Tellement l’air ne peut rester prisonnier
musique
Loin d’être improvisée
découverte
Qui vous saoule
prendre un temps, vous
Persuader de ne pas avoir rêver
Oui, C’est bien moi qui ...
Ce que depuis des mois
Ne ce fait qu’à minima
Libéralité
Me laisse emporter
Femme varie
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Benjamin doit savoir
ses interprétations sont magiques
« Aux aguets »
Jouer par lui
A bout de souffle
Je suis
Deux fois 10’46
A graviter, touiller l’air
Haleter, panteler
Voyage encore possible pour l’immobile
Que je tends à devenir
Dès les premières notes
Respire, par petites bouffées
Aux poses de plus en plus amples
Voyez
Le corps ondule
De bas en haut
Comme un écho
C’est danse singulière
Qui s’exprime
Puis sur tempo de plus en plus rapide
Il en redemande
Il est avide
Il s’étire, vrille, se voit comme
Un coureur de 400 m, qu’il mime bien sur
S’adapter pour maintenir le plaisir retrouvé
Jusqu’au bout
A la troisième minute
Les doigts ralentissent
Sur les touches
C’est alors
Qu'elle enivre,
Fait tourner la tête
Balance, balance,
puis
Par son incessante relance
C’est reparti
vriller, ondoyer, pivoter,
contre balancer
La bouche s’ouvre
Inspiration profonde
de mise
Tellement l’air ne peut rester prisonnier
musique
Loin d’être improvisée
découverte
Qui vous saoule
prendre un temps, vous
Persuader de ne pas avoir rêver
Oui, C’est bien moi qui ...
Ce que depuis des mois
Ne ce fait qu’à minima
Libéralité
Me laisse emporter